Qui suis-je ?

Mon Histoire Pourrait Être La Vôtre

Comment un traitement antibiotique m’a sauvé la vie, mais m’a causé tout un tas de problèmes de santé qui ont fait de ma vie un enfer. Et comment j’ai réussi à retrouver une vie normale et agréable !

Le Début de la Maladie

Je m’appelle Daniel, j’ai 45 ans et je vais beaucoup mieux maintenant 😉

J’avais une vie parfaite et une santé idéale, j’étais sportif, bon vivant et joyeux.

Puis en 2009 j’ai été mordu par une tique infectée et toute ma vie est partie en vrille…

Pendant 10 ans, j’ai lutté contre la maladie de Lyme sans le savoir.

J’avais pourtant été traité à l’hôpital par une semaine d’antibiotiques après cette morsure de tique, qui avait déclenché un érythème migrans. On avait donc la certitude que la bactérie (Borrelia) avait pénétrée dans mon corps malgré les tests négatifs.

On m’avait dit que j’étais guéri après cette semaine d’antibiotiques…

Mais petit à petit, ma situation s’est dégradée. C’était très sournois : on se sent un peu plus fatigué chaque jour. On dort, mais on se réveille fatigué. On vit dans un état de léthargie constant, on a envie de dormir après chaque repas, on ne peut plus se concentrer, on perd la mémoire, sans parler des douleurs articulaires. Bref, je vous passe la liste complète, c’est horrible. On hésite entre mettre cela sur le compte de l’âge ou d’un autre facteur inconnu.

Après 10 ans de cet enfer, j’étais au bout du rouleau, au point d’envisager le pire… Moi qui avais toujours connu la joie de vivre.

L’Errance Médicale

J’ai alors consulté à nouveau et me suis retrouvé face à un mur :

  • « Vous n’êtes pas malade. »
  • « C’est dans la tête. »
  • « Je vous prescris des antidépresseurs. »
  • « C’est une fibromyalgie. »

Après de nombreux refus, j’ai enfin trouvé un médecin qui a accepté de me prendre en charge pour Lyme, malgré mes tests sanguins constamment négatifs.

Grâce à lui et à un simple traitement antibiotique de longue durée, ma vie a enfin changé.

Une Première Rémission

Je retrouvais mon énergie, mes amis, et l’envie de croquer la vie !

Mais alors que je retrouvais une vie normale, ma situation s’est de nouveau dégradée. Moins gravement cette fois, mais petit à petit, je devenais intolérant à de plus en plus d’aliments.

Cela a commencé par l’aubergine, puis l’ail, après le gluten, par la suite bien d’autres…

Mon hypothèse ? Les antibiotiques avaient détruit mon microbiote intestinal, rendant mon système immunitaire complètement déréglé.

Une analyse de microbiote a confirmé l’hypothèse : mon microbiote était comme inexistant… en quantité et en diversité.

Les Symptômes et Conséquences

Mon système digestif était dévasté, et je ne pouvais presque plus rien manger sans réaction.

Il m’est arrivé de ne pouvoir manger que 2 aliments pendant plusieurs jours tellement j’étais sensible à tout ce qui entrait dans mon estomac. C’était le seul moyen de sortir de cet état horrible à vivre.

Les symptômes étaient accablants :

  • Une fatigue écrasante, m’empêchant de vivre normalement : hypersensibilité aux bruits et à la lumière, brouillard mental.
  • Des problèmes de concentration, rendant tout travail impossible pendant plusieurs jours. Un état de confusion et de dépression avancé.
  • Des troubles intestinaux, dont je vous épargne les détails…
  • Des douleurs articulaires, des fournis dans les membres, les paupières qui tressautent (fasciculations)

Mais aussi des répercussions sociales et émotionnelles :

  • L’impossibilité de manger normalement, obligeant à avoir un menu spécial lors des repas de famille ou sorties, entraînant un isolement progressif.
  • L’éloignement de mes amis, car il m’était impossible de participer aux soirées : pas d’alcool, pas de plats partagés, refus constant de leurs invitations pour ne pas être tenté et risquer une crise grave.
  • L’échec de mon couple, épuisé par la situation : trop fatigué pour entretenir une relation, trop centré sur ma survie quotidienne.

Vivre comme enfermé dans son propre corps qui ne fonctionne plus, c’est comme être en enfer…

L’impression de s’empoisonner en mangeant est une réalité difficile à comprendre sans l’avoir vécue.

C’est comme être spectateur de la vie, du bonheur des autres, sans pouvoir y participer.

Si j’avais su, j’aurais changé mon alimentation dès le début, plutôt que d’attendre que cela empire. Car plus on attend, plus c’est long à réparer.

Mais on vous dit qu’il ne faut pas jouer avec l’alimentation, que le jeûne est dangereux, qu’il faut se méfier des naturopathes parce qu’ils ne sont pas médecins… alors, on reste comme ça… et tout empire.

On vous dit surtout qu’il n’y a pas de traitement, qu’il faudra vivre avec. Que ce sont des maladies mal comprises, qu’il faut faire plus d’études, et même, je l’ai entendu de mes oreilles : « vous savez, il y a plus grave dans le monde… ». Parfois, on vous rit au nez, car vous parlez de choses que vous avez lu sur internet…

Bref, ne nous énervons pas… si vous en êtes au premier stade avec quelques intolérances, ne faites pas comme moi. Prenez les mesures qui s’imposent dès que possible et ce sera bien plus facile de remonter la pente.

Une Approche Scientifique et Expérimentale

Face à l’incapacité des médecins à m’aider et l’absence de solutions claires, j’avais envie de prendre moi-même les choses en main.

Un événement m’a mis dans une grande colère et a fini de me convaincre de créer Revitabiome pour aider les personnes dans la même situation.

Ma compagne de l’époque a un jour été prise d’énormes douleurs au ventre, elle avait tellement mal qu’elle se tordait de douleur sur le canapé et j’ai cru qu’elle allait mourir sous mes yeux.

Je l’ai emmenée en urgence à l’hôpital le plus proche et elle a été « prise en charge ». J’ai passé la nuit à attendre sur le parking dans ma voiture, sans nouvelles.

Le matin, elle allait un peu mieux. Alors la gastroentérologue nous a reçus tous les deux.

Et le verdict est tombé comme un couperet :

« Vous êtes atteinte d’une Rectocolite Hémorragique, vous l’aurez à vie, ça ne se guérit pas. »

« Tout ce qu’on peut faire, c’est vous prescrire des anti-inflammatoires que vous prendrez à vie. »

« Et si ça s’aggrave, il faudra opérer pour vous enlever une partie de l’intestin ».

Vu mon expérience concernant l’amélioration de mes symptômes par un changement d’alimentation, j’ai osé poser la question qui fâche.

Réponse : « Il ne faut surtout pas changer d’alimentation, on risque de graves problèmes et des carences. »

Une petite recherche sur internet en rentrant, et j’obtenais des dizaines de témoignages de patient atteints de RCH qui avaient nettement amélioré leurs symptômes avec le régime sans FODMAP. Certains parlaient même de rémission et pouvaient à nouveau manger normalement.

Mais surtout, un beau paquet d’études scientifiques publiées dans des revues à comité de lecture ! Études prouvant par A+B qu’on obtient de bons résultats, voire des rémissions ou guérisons de la RCH en changeant d’alimentation, parfois avec l’aide de probiotiques.

Plus de doute : soit la bouchère (désolé je n’ai pas d’autres mots) n’avait pas internet, soit elle refusait de voir la vérité en face…

Pour quelle raison ? je chercherai du côté de l’égo… Quand on en a bavé pendant 12 ans et qu’on est passé à côté d’une partie de sa vie pour apprendre la médecine, on a du mal à accepter qu’on ne sait pas tout, qu’on peut se tromper et qu’il faut continuer à apprendre.

La coupe était pleine, il fallait que je fasse quelque chose.

D’abord commencer par améliorer ma situation, et voir ensuite si je pourrais l’appliquer pour aider d’autres personnes dans la même situation.

Grâce à ma formation scientifique je savais où chercher. J’ai entrepris des recherches approfondies, lu des centaines d’études sur le lien entre alimentation et maladies chroniques.

Comme beaucoup d’autres malades sur les forums spécialisés, j’ai testé toutes sortes de régimes : FODMAP, Paléo, Jeûne, Jus de légumes, Monodiète, Jeûne intermittent…

Ils donnaient parfois une amélioration, mais impossible à tenir, car ils étaient trop compliqués à suivre. Il aurait fallu se promener avec une encyclopédie pour vérifier chaque aliment autorisé et en quelle quantité à chaque fois que je devais manger.

En bref, on ne sait jamais que manger et c’est très facile de faire un écart qui déclenchera une crise dont il faudra deux semaines pour se remettre et retrouver un peu d’énergie pour sortir de chez soi.

Un vrai casse-tête, mais j’étais sûr maintenant que l’alimentation jouait un rôle important dans mon mal-être.

J’ai aussi essayé de nombreux compléments alimentaires, espérant une solution miracle : glutamine, vitamines, butyrate, probiotiques divers etc.

Mais les résultats étaient souvent insignifiants, et certains déclenchaient même des réactions aiguës conduisant aux urgences ! Urgences où pourtant toutes mes analyses médicales restaient normales alors que j’avais la sensation que j’allais mourir… Sensation d’étouffer, trouble de la vision, vertiges, douleurs… « Vous n’avez rien… ».

Le Tournant : Une Découverte Scientifique

C’est une naturopathe, Sylvia, qui m’a mis sur la bonne piste. Merci à toi Sylvia, je ne te remercierai jamais assez, tu m’as sauvé la vie !

Elle m’a proposé des listes d’aliments spécifiques, et j’ai découvert pour la première fois l’impact immense de l’alimentation sur mon bien-être. Une révolution !

Certains jours, j’arrivais à me sentir presque en forme, c’était comme sortir d’un tunnel et revivre.

Mais ce régime n’était pas parfait :

  • Trop compliqué à suivre au quotidien.
  • Nécessité de vérifier chaque aliment un par un.
  • Certaines réactions persistaient, preuve que la liste n’était pas adaptée à 100 %.
  • Manque de durabilité dans les résultats et très nombreuses rechutes ou crises.

La Science Confirme l’Importance du Microbiote

Les recherches récentes montrent que le microbiote intestinal joue un rôle fondamental dans notre santé :

  • Nature Medicine (2023) : « Le microbiote influence directement notre système immunitaire. »
  • Science (2022) : « Sa diversité est essentielle à la santé digestive. »
  • Cell (2021) : « L’alimentation peut modifier le microbiote en quelques jours. »
  • Syndrome de l’Intestin Irritable (IBS) : « Le microbiote intestinal et le syndrome de l’intestin irritable : nouvelles perspectives thérapeutiques » – Gastroentérologie, 2022.
  • Candidose : « Dysbiose fongique et santé gastro-intestinale » – Revue Nature Microbiologie, 2021. SIBO (Prolifération Bactérienne de l’Intestin Grêle) : « Dysbiose intestinale et SIBO : implications pour le traitement » – Cell, 2023.
  • Maladie de Crohn : « Influence du microbiote intestinal sur les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin » – Lancet Gastroenterology, 2021.
  • Fatigue chronique : « Rôle du microbiote dans la fatigue chronique : une approche métabolique » – Journal Européen de Biologie, 2023.
  • Maladies auto-immunes : « Lien entre dysbiose intestinale et maladies auto-immunes : perspectives futures » – Science Immunology, 2022.

Ces études et de nombreuses autres confirment le lien entre microbiote et :

  • Syndrome de l’Intestin Irritable (IBS), Candidose, SIBO.
  • Maladie de Crohn, Fatigue chronique, Maladies auto-immunes.

Ce domaine de la science révolutionnera la médecine, j’en suis convaincu.

Mais pour l’instant, aucune solution thérapeutique n’a été mise en place sur ces bases.

La médecine prend son temps (ou freine de tout son poids ?), pendant que les malades souffrent.

Pire, la transplantation de microbiote, solution simple et peu onéreuse (trop peu onéreuse ?) est même interdite en France et dans de nombreux autres pays alors qu’elle a montré des résultats significatifs à travers de nombreuses études.

À chaque nouvelle étude, il est écrit : « il est nécessaire de faire de nouvelles études »… Il faut bien obtenir des financements pour justifier son travail de scientifique… Alors, on ne conclut jamais et on laisse tout le monde dans le doute, y compris les malades.

Décadence d’un système dans lequel seul l’argent compte. Mais quand ça touche à la santé, c’est, en plus d’une décadence, une honte et un scandale !

Une Approche Progressive et Personnalisée

Il me fallait une solution simple pour me sentir mieux. J’ai alors expérimenté pour trouver la solution qui pourrait me garantir de retrouver rapidement un peu d’énergie en cas de crise.

En me basant sur le « régime » prescrit pas ma naturopathe, j’ai testé différentes façons de procéder.

Et ça a marché ! j’avais maintenant le « camp de base de mon expédition » : une liste d’aliments dont j’avais la garantie qu’ils m’aidaient à me sentir mieux rapidement.

Le camp de base était d’un grand soulagement : je pouvais m’y réfugier pour retrouver rapidement la forme et reprendre l’exploration plus tard. Je tenais enfin le moyen de combattre ce mal sans repartir de zéro à chaque fois.

Il m’a ensuite fallu trouver un moyen de pérenniser les résultats pour avancer. C’était comme déplacer le camp de base un peu plus haut du sommet. Je n’avais plus alors à repartir du départ à chaque tentative, en cas de déclenchement d’une crise.

Aujourd’hui, plus d’un an après le début de mon exploration, j’ai la joie de me sentir bien chaque jour.

Je peux travailler normalement et je reconstruis ma vie sociale. Je dois encore faire attention à quelques aliments que mon corps refuse toujours, mais ils sont de moins en moins nombreux. Les crises sont aussi beaucoup moins graves et je m’en remets bien plus rapidement.

Le reste du temps, je peux avoir une vie normale, faire du sport à nouveau, profiter des sorties en famille ou entre amis. Après toute cette souffrance, j’ai décidé de me tourner vers les autres malades afin de les aider à mon tour.

Sur les bases de mon expérience, j’ai mis au point ce programme d’exploration alimentaire qui m’a permis de :

Identifier les aliments adaptés à mon corps. ✔ Reconstruire progressivement mon microbiote. ✔ Retrouver mon énergie chaque jour. ✔ Réintroduire petit à petit les aliments perdus. ✔ Reprendre une vie sociale normale.

Ce programme est radical et il pourra donc en effrayer certains, car on va supprimer pas mal de choses au début.

Mais la radicalité est nécessaire pour obtenir des résultats durables. Revitabiome reste toutefois bien plus doux que le jeûne, se gaver de produits chimiques ou la transplantation de microbiote. Et surtout, il donne des résultats rapidement.

Dans « radical », il y a « racine ».

Nous traitons le problème à la source :

  • Microbiote,
  • Paroi intestinale,
  • Système immunitaire.

Le but n’est pas de masquer les symptômes ni de se doper pour avoir de l’énergie artificielle, mais de résoudre définitivement le problème.

Quand on a une inondation dans sa maison, on commence par fermer l’arrivée d’eau. On ne commence pas par éponger tout en laissant la fuite remplir la maison…

Même si les vendeurs d’éponges vous diront sûrement le contraire… (suivez mon regard).

Si vous croyez qu’une simple pilule réglera tout, alors vous faites fausse route, et ce programme ne pourra rien pour vous.

Mais si vous êtes prêt à changer temporairement vos habitudes pour que tout change, alors vous êtes au bon endroit.

Mon parcours de santé m’a appris une chose : le système médical fonctionne à l’envers. On paye et ensuite, on voit si ça marche ou pas.

Je trouve que ce n’est pas normal, on devrait payer pour un résultat, pas pour un simple avis. Ainsi la médecine serait bien plus efficace. Vous payez à l’entrée du supermarché sans savoir ce que vous pourrez acheter quand vous faites vos courses ?

Alors j’ai fait en sorte de remettre les choses dans l’ordre pour mon programme Revitabiome.

  1. J’analyse votre questionnaire
  2. Je vous propose le programme adapté à votre cas gratuitement
  3. Vous le mettez en pratique pendant 1 semaine

À partir de là, deux cas de figures :

👍 Vous vous sentez mieux, le programme fonctionne pour vous !

Vous validez le paiement de la première semaine pour les résultats obtenus. Vous obtenez alors le programme pour la semaine suivante.

👎 Pas d’améliorations…

Le programme n’est malheureusement pas adapté à votre cas. Vous aurez essayé et cela ne vous a rien couté.

Je vous conseille de le prolonger l’essai quelques jours en appliquant à nouveau le même programme. Certaines personnes ne répondent pas immédiatement et l’amélioration peut nécessiter un peu plus de temps.

Daniel

Revitabiome est-il adapté à votre cas ?

Remplissez le formulaire et après analyse, je vous contacterai pour vous indiquer si le programme est adapté à votre cas et si on peut vous aider.